Les « Nocturnes » 2024

Quatre sites - Quatre exposés

Lors des prochaines Nocturnes d’Orval, divers thèmes seront proposés au public dans des endroits habituellement inaccessibles à celui-ci.
Ces courts exposés d’une vingtaine de minutes maximum relateront un petit pan d’Histoire de l’abbaye d’Orval.

Comme d’habitude, le public réparti en quatre groupes et encadré par des guides, suivra un circuit bien défini sur le site des ruines.

Le nombre de places est limité à 350 personnes par soirée.

Les chauves-souris : espèces protégées à Orval et environs

Responsable : Guy WAGNER

Une communauté de l’ombre…

À l’heure où la communauté monastique célèbre la fin du jour et entonne le Salve Regina, une communauté de l’ombre s’éveille au fond des souterrains de l’abbaye…
Quelques individus déjà s’ébrouent et défroissent leurs ailes telle la coule des frères cisterciens. La communauté des chiroptères entame son activité nocturne dans les entrailles de la terre, comme en miroir à la vie aérienne des cénobites…
La vie des quelque cinq espèces de chauves-souris présentes à Orval démarre la tête en bas dans l’obscurité des souterrains. Alors que l’activité des moines s’articule autour de la prière et du travail diurne, les mammifères volants déploient leurs ailes nuitamment pour chasser insectes et coléoptères, et pour nourrir leur progéniture rassemblée en nurserie sous les combles…

Selon une étude japonaise parue dans les Annales de l’Académie nationale américaines des Sciences en 2010, les chauves-souris minimisent les interférences des ondes sonores qu’elles émettent en modulant la fréquence. En outre, lors d’un vol elles mémorisent chaque son émis et son écho pour éviter toute confusion entre les sons et leurs échos respectifs.
Une étude de l’Institut Max Planck en Allemagne parue la même année, a démontré que les chauves-souris utilisent le champ magnétique terrestre pour s’orienter la nuit en territoire inconnu et qu’elles ajustent leur boussole naturelle en fonction de la position du soleil à son coucher…
Les chiroptères connaissent ainsi les souterrains du 18e siècle mieux que quiconque ; ils évitent les obstacles et se dirigent vers leur terrain de chasse sans encombre dans le soir tombant grâce à un système de guidage sophistiqué.
Leur représentation mentale forme donc une cartographie des souterrains qui nous est encore inconnue…

De là à imaginer que le grand Rhinolophe a pu repérer le fameux « trésor d’Orval » qui a fait rêver tant de nos congénères humains sans jamais se laisser découvrir…
Cet exposé aura lieu exceptionnellement dans les caves du XVIIIe sous le transept de l’abbatiale. Ce lieu n’est malheureusement pas accessible pour une personne utilisant un fauteuil roulant.

Fabuleuse (re)-découverte de films inédits sur divers événements à Orval

Responsable : Marc HEYDE

Visionner pour la toute première fois des séquences filmées entre 1934 et 1948 et, qui plus est, les découvrir parfois en couleurs dès 1937 alors que les photos dont nous disposons dans les archives sont en noir et blanc a de quoi nous faire rêver. C’est Monsieur Resteau et ses proches qui en sont les auteurs.
Nous ne saurons jamais assez les remercier pour tous ces merveilleux documents.
En 2009, ces films ont été gravés sur DVD et forment une suite chronologique. Ce n’est que récemment que ces films muets nous furent dévoilés. Avec l’accord de la famille et de l’abbaye dépositaire du fonds Resteau, nous ne garderons pas ce trésor enfoui mais les diffuserons lors des « Nocturnes ».
Ces archives filmées nous plongent dans la reconstruction de l’abbaye et dans les grandes cérémonies religieuses. Certaines séquences d’une qualité exceptionnelle sont filmées en couleur ; ce qui était un luxe pour l’époque. Ainsi, nous assisterons à une visite au chantier de l’abbaye en 1934, nous verrons les moines au travail à Jamoigne en 1935. Deux petits films en couleurs 16 mm nous relateront la fête de St Bernard en août 1937 ainsi que la bénédiction de l’église d’Orval le 5 juin 1939.
Une très intéressante séquence nous fait vivre la Bénédiction de la chapelle des Scouts en 1938.
Nous visionnerons avec grand intérêt diverses séquences relatives à la Consécration de l’abbaye les 7 et 8 septembre 1948.
La projection aura lieu dans la chapelle des Scouts. Les films seront bien sûr commentés et feront l’objet d’une sonorisation musicale. Ce lieu n’est malheureusement pas accessible pour une personne utilisant un fauteuil roulant.

Retour sur un siècle d'histoire d'Orval ou la fabuleuse renaissance de l'abbaye

Responsable : Pierre MAITREJEAN

Deux grandes périodes :

La première, la plus longue, dite « l’ancienne ». Elle débuterait avec les arrivées des moines en 1074 puis en 1132, et se poursuivrait durant 8 siècles avec les incendies dévastateurs, les guerres meurtrières, les grandes réformes, les essors économiques et les multiples communautés qui s’y sont succédé.
La seconde, dite « contemporaine ou moderne » qui s’étendrait depuis le retour des moines en 1927 jusqu’à nos jours. Cette période reste, pour beaucoup, mystérieuse, fascinante quant à la vie de la communauté et sa situation matérielle durant les deux guerres.
Bizarrement, cette « jeune histoire d’Orval » s’est (re)construite sur deux visites déterminantes, « miraculeuses » pour l’avenir du monastère.

Épisode 1 : la « révélation »
Le 26 septembre 1865
Un jeune homme de 20 ans s’émerveille devant les ruines. Il vient d’être ordonné prêtre : c’est l’abbé Nicolas Tillière natif de Ethe. Cette visite « miraculeuse » va changer sa vie et celle de l’abbaye : « Je ne saurais oublier avec quelle émotion j’ai parcouru ce jour-là les souterrains humides, foulé pour la première fois le gazon sacré, interrogé les pierres moussues ». Avec son livre « Histoire de l’abbaye d’Orval » (1897), il va jeter les bases de la fascinante aventure moderne de l’abbaye.

Épisode 2 : la « résurrection »
Le 8 mai 1926
Le père Albert (Charles van der Cruyssen) et dom Jean-Marie Clerc, abbé de la Grande-Trappe sont à la recherche d’un refuge pour leurs religieux menacés d’expulsion par la France. Sur leur route, ils s’attardent dans les ruines de l’ancienne abbaye d’Orval. C’est la révélation. La vie monastique va y renaître dès mai 1927 grâce à la ténacité du père Albert.
En parallèle, nous jetterons un regard particulier sur les périodes des deux guerres mondiales.
Que dire durant la première guerre ? Il n’y avait pas encore de communauté à Orval à l’époque. Pourtant …
La situation en 1940 est tout autre. A la déclaration de guerre le 10 mai, on travaille beaucoup sur le chantier de la reconstruction. La communauté compte alors plus de 40 moines. Orval va probablement vivre sa période la plus mystérieuse, la plus dangereuse de son histoire moderne.
L’exposé se tiendra sur le terre-plein situé à l’arrière de l’abside de l’abbaye médiévale.

À travers les siècles, ils seraient passés par Orval. mythe ou réalité ?

Responsable : Anne COLLET

Ils ont leurs noms dans les livres d’histoire. Roi et Reine de France, Marquis, écrivain célèbre ou encore religieux.
Lors de la Révolution française, Louis XVI et Marie-Antoinette ont fui l’ennemi. Mais sont-ils réellement passés par Orval ? Marie-Antoinette a-t-elle confié ses précieux bijoux à l’abbaye ?
Quel fut le rôle du marquis de Bouillé dans la fuite du Roi de France vers Varenne ?
Pourquoi Victor Hugo aimait-il tant venir à Orval ?
Et que dire de Pierre l’Ermite ? Religieux français du XIe siècle, il a participé à plusieurs croisades et son nom se retrouve aussi à Bouillon.
Ils sont passés par Orval… vrai ou pas ? Ils ont séjourné à Orval… vraiment ?
On écoutera cet exposé dans la salle du chapitre médiévale.

Musique & chants

Les coralpins gaumais

C’est en avril 2023 que 3 musiciens gaumais passionnés par le cor des Alpes (Jean-François Claisse tromboniste, Didier Depienne clarinettiste et Daniel Hubert tubiste) ont décidé de créer ce trio de sonneurs dans le but de faire connaître ce bel et mystérieux instrument dans leur région.
Ce groupe de départ a évolué au fil des années et, depuis deux ans, a été rejoint par Guy Mangers de Perlé (GDL) et Pascal Czeladka de Audun le Tiche (FR).
Ils viennent de fêter en mai 2023 leurs 10 années d’existence. Les coralpins gaumais prestent en Belgique bien entendu, mais surtout à l’étranger et principalement en France, en Suisse, en Italie, en Allemagne et en Autriche. Ils se sont même produits au Costa Rica.
Ils seront à Orval lors de la soirée du jeudi 25 juillet.

Les six voix de la main

C’est un ensemble vocal masculin, créé en 2016 par six chanteurs amis de longue date, et placé sous la direction musicale de Thierry Lequenne. Son premier programme, intitulé « Dans le soir d’or », a rencontré un succès immédiat, grâce entre autres au choix du répertoire (scindé en une partie sacrée et une partie plus légère) et à l’évidente complicité qui unit les chanteurs…
Le groupe, rappelons-le nous avait déjà séduits lors de nos manifestations marquant le 950e anniversaire de l’abbaye d’Orval.
Le groupe interprétera de la musique ancienne (Beata viscera de Perotin), du Poulenc (extraits des Laudes de Saint Antoine de Padoue), des hommages aux ouvrages des disparus (Beta mortui de Mendelssohn), une évocation de l’atrocité de la guerre (In Flanders Fields de Schronen), leur composition « Dans le soir d’or », ainsi que d’autres pièces plus légères, aptes à faire sourire le public.
Ils seront à Orval lors des soirées du vendredi 26 et samedi 27 juillet.

Les sonneurs de cors de Bertrix

Le groupe de sonneurs s’appelle le « Rallye Trompe Ardenne Croix Mambour » qui est le lieu-dit où le groupe s’est formé en 1992 sous la présidence de feu le Docteur Paul Pierret de Bertrix. Les sonneurs animent régulièrement des festivités telles que: foires des vignerons, mariages, animations culturelles. Actuellement, ils s’entraînent pour le championnat du Benelux. Pour notre plaisir, ils interprèteront « L’arrivée au rendez- vous », « Le nouveau départ », « La marche de vènerie », « La Sainte Hubert », « Les honneurs », « Le sanglier », « La Royale », « La rallye Thillegem », « Le clocher de Dampierre ».
Nous les écouterons à Orval les 26 et 27 juillet.

Marie-Agnès Jean-Desseille - Soprano

Nous avons déjà invité Marie-Agnès lors de Nocturnes précédentes.
La jeune soprano Marie-Agnès Jean-Desseille a commencé la musique à l’Académie de Musique d’Arlon à l’âge de 8 ans. Elle y a suivi des cours de formation musicale en filières de formation puis de transition, de flûte traversière, de piano, de musique de chambre ainsi que de chant lyrique.
En 2010, elle entre à l’Institut Supérieur de Musique et de Pédagogie (IMEP) dans la classe de flûte traversière.
En 2011, elle obtient un premier prix au concours Dexia Classics et entame un second cursus en chant à l’Imep.
Au cours de son parcours, elle a eu l’occasion de chanter en tant que choriste à l’IMEP, à l’Opéra Royal de Wallonie, à Bozar, à la Monnaie, et à Amsterdam.
Elle fut également soliste dans les opéras Cendrillon de Massenet, l’opéra d’Aran, de Bécault et Gianni Schicchi (rôle de Lauretta) de Puccini.
Elle est membre effective de la Maîtrise de la cathédrale de Namur et fait partie du Choeur de Chambre de Namur.
Maman de quatre enfants, elle a enseigné durant de nombreuses années la flûte, le chant choral et l’éveil musical au sein de l’asbl « Le jardin des sons ». Elle est actuellement professeur de flûte traversière et de chant lyrique à l’Académie Victor de Becker à Gembloux.
Marie-Agnès nous communique déjà le contenu partiel de son programme :
« Pie Jesu » de Fauré, « Air de la musique » extrait de l’Orfeo de Monteverdi, « Quia respexit » extrait du Magnificat de Bach, « Bist du bei mir » de Stölzel, Extraits de chorals de Bach…
Elle sera présente aux « Nocturnes » durant les trois représentations.

Olivier Berten - Baryton

Après des études de communication et de multimédia, Olivier Berten entre au Conservatoire Royal de Bruxelles où il obtient un Diplôme supérieur en chant-opéra dans la classe de Marcel Vanaud. Il se perfectionne en lied et mélodie auprès d’Udo Reinemann et d’autres grands noms de la discipline aux conservatoires d’Amsterdam, Metz et Bruxelles. Il étudie le chant baroque auprès de Monique Zanetti et Greta De Reyghere. Pendant la saison 2004-2005, il est membre de l’Operastudio Vlaanderen à Gand.
On le retrouve régulièrement sur la scène des opéras de Bruxelles (Eliogabalo, Werther, Orlando furioso), de Flandre (Villa Vivaldi) et de Wallonie (Ne criez pas aux loups et Sybil et les silhouettes) ainsi qu’avec des ensembles comme l’Orchestre Philarmonique de Liège, l’Orchestre Symphonique des Flandres ou La Petite Bande. Il est membre récurrent des ensembles Scherzi Musicali, Vox Luminis et Cappella Pratensis avec qui il participe à plusieurs enregistrements qui reçoivent un excellent accueil, tant de la critique que du public.
En divers endroits, il interprétera certainement des chants grégoriens.
Il sera présent lors des trois soirées.

Jean-Baptiste Toussaint

Est né à Saint-Mard en 1995 et habite à Pin (Chiny).
Dès l’âge de 7 ans, il intègre l’harmonie de Paliseul tout en suivant des cours de solfège.
Durant 7 années, il suit également des cours d’orgue et des cours de chant puis il poursuit des études supérieures à l’IMEP (Institut Supérieur de Musique et de Pédagogie) en percussion et chant.
En février 2016, il intègre l’Opéra Royal de Wallonie en tant que timbalier ainsi qu’au « Namur Wallonia Brass Band ».
En 2018, il fonde avec Simon Lequy et Martin Genen le groupe « Les Melting Potes Trio » qui interprète des classiques de variété.
En novembre 2021, il rejoint le groupe vocal « Arcanes » de Florenville-Chiny en tant que choriste et percussionniste.
Il nous envoûtera avec un instrument peu courant, le vibraphone, instrument de musique de la famille des instruments de percussion et plus précisément de la branche des claviers. Souvent confondu avec le xylophone, le vibraphone est constitué de métal et de bois.
Il sera présent à Orval les 25 et 26 juillet.

Jean-Marie Liégeois et Élise Liégeois, sa fille

Le groupe « Kand » interprète différents styles de musique: cela va des duos classiques de violons (réalisés à la « Lutherie de la Gaume ») à la musique traditionnelle irlandaise, klezmer, wallonne ainsi que des chansons à texte en français. Le groupe familial se compose du père Jean-Marie Liégeois (guitare, voix, violon) et de sa fille Elise (violon).
Jean-Marie Liégeois et des membres de sa famille nous font fréquemment l’honneur de leur participation à Orval.
Nous gardons aussi en mémoire sa composition de la « Messe Sancti Arbogasti » magnifiquement interprétée dans la basilique le 7 novembre 2021.
Ils nous émerveilleront certainement une fois de plus lors des trois soirées.

L’ensemble Itin’errances

L’ensemble « Itin’errances » est né de l’amitié entre 2 professeurs de l’Académie de Musique d’Arlon, Marie-Béatrice NICKERS et Cyrielle SANCHEZ. Après avoir organisé plusieurs concerts pour leurs élèves dans le cadre de leur école, l’envie leur est venue d’étendre leur répertoire et de le présenter en dehors de l’Académie.
« Itin’errances »…. la contraction de « Itinéraires » faisant référence aux cadres rigoureux de la musique classique et « Errances » pour s’évader vers le rêve et la découverte.
Afin de s’offrir plus de possibilités dans l’harmonie et les sonorités, c’est tout naturellement qu’elles ont proposé au pianiste Alain BAJOT de rejoindre leur ensemble.
Proposition de programme parmi les oeuvres suivantes:
« Violons dans le soir » de Camille SAINT-SAENS, pour violon, chant et piano « Sonate op 27 no 5, 1er mouvement : « L’Aurore » de Eugène YSAYE, pour violon seul « Chants op 35 pour » pour voix et violon de Gustav HOLST « Chants populaires anglais » arrangés par Rebecca CLARKE pour chant et piano « Hebrew Love Songs » pour soprano, violon et piano d’Éric WHITACRE.
Le groupe sera présent les 25 et 26 juillet.

L’ensemble vocal « La Tournerie » de Libramont

Composé d’une trentaine de chanteurs amateurs, l’Ensemble vocal de Libramont-Chevigny est régulièrement apprécié pour la qualité de son travail. Il a chanté
pour des festivals comme « Festival BARDOS » (Budapest), le Festival de « l’Etémosan », « Musique dans la Vallée » (Attert-Luxembourg), le Festival de Lasnes », « Manuel Faria » Coimbra), le « Juillet Musical d’Aulne »… et a travaillé sous la direction de chefs tels que Pierre CAO, Pierre BARTHOLOMEE ou encore Nicolas BROCHT et André REISCHLING.
Il est l’un des partenaires réguliers de « l’Orchestre de Chambre de Waterloo » et de l’Ensemble « les musiciens-Luxembourg » ou encore d’ « Estro Armonico »(Luxembourg).
Avec ces ensembles, le choeur libramontois a chanté Mozart, Schubert, Brahms, Fauré, Vivaldi, Gossec…
Marie-Béatrice NICKERS a fait ses études au Conservatoire Royal de Bruxelles chez Robert LEURIDAN et Daniel BLUMENTHAL, pour le piano et à l’Ecole Internationale de Direction chorale chez Pierre CAO.
Le choeur sera présent le 27 juillet.

Informations pratiques

Abbaye Notre-Dame d'Orval
Orval 1
6823 VILLERS-dvt-ORVAL

Jeudi 25 juillet 2024 (COMPLET)
Vendredi 26 juillet 2024 (COMPLET)
Samedi 27 juillet 2024 (COMPLET)

Accueil à partir de 18h45
Début à 19h30
Durée : +/- 3h30

Les personnes souhaitant une assistance particulière (PMR...) sont invitées à prendre contact par email dès que possible : Merci.
Comme indiqué ci-dessus, deux lieux ne sont malheureusement pas accessibles aux personnes utilisant un fauteuil roulant. N'hésitez cependant pas à nous contacter () afin d'envisager (autant que possible) une solution.

Il convient de s'habiller chaudement et de bien se chausser. La plupart des exposés seront proposés dans des salles couvertes.

Tarif normal : 24 €
Tarif pour les membres en ordre de cotisation : 20 €
Tarif pour les étudiant(e)s de moins de 25 ans : 20 €
Gratuit pour les enfants de 12 ans et moins

Modalités d'inscription

La solution la plus simple et la plus économique.

Achetez vos billets en ligne via un paiement sécurisé et recevez ceux-ci par email.

Vous pouvez les imprimer mais ce n’est pas indispensable, vous pourrez les présenter sur votre smartphone.

Du lundi au vendredi de 16h00 à 19h00.

 +32 (0)478 31 62 81

Frais de port pour l’envoi des billets : 2 €

À l’abbaye d’Orval.

S’adresser à la porterie.

Tous les samedis de 9h30 à 11h30.

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